Plan cul assumé, version mature.
Elle m’a attrapé par la ceinture. Et elle a décidé du reste. Dans les ruelles du quartier Saint-François, elle m’a abordé sans détour, le regard brûlant de désir. Pas de promesses, pas de faux-semblants : elle voulait un plan cul cougar, une rencontre coquine, juste un moment sans tabou. Sa voix grave m’a soufflé ce qu’elle attendait : un corps chaud, pas d’amour, juste du plaisir brut. Sa main glissait déjà sous ma chemise, ses lèvres effleurant mon oreille, me murmurant ce qu’elle ferait de moi. Femme mature, femme chaude, elle savait exactement comment me prendre, comment me faire perdre le contrôle. Dans ce quartier où tout semble possible, elle a fait de moi son amant d’un soir, sans questions, sans lendemain. Juste l’intensité d’un instant volé, guidé par ses envies.
Elle m’a attrapé par la ceinture. Et elle a décidé du reste.
Dans les ruelles pavées du quartier Saint-François, la nuit s’étirait, vibrante, pleine de promesses. Je marchais sans but, le regard perdu dans les lumières des bars, quand elle m’a abordé. Une femme mûre, sûre d’elle, le port altier, les yeux qui ne laissaient aucune place au doute. Son parfum, subtil, m’a enveloppé avant même qu’elle ne parle. Elle n’a pas eu besoin de mots. Sa main s’est posée sur ma taille, ferme, possessive. J’ai senti que je n’avais plus qu’à la suivre.
Elle m’a entraîné dans une petite rue, loin du tumulte, là où la ville semble retenir son souffle. Son sourire était une invitation à un moment sans tabou, une promesse de complicité sensuelle. Elle n’avait pas besoin d’amour, juste d’un corps chaud, et ce soir, ce serait le mien. Son regard m’a déshabillé bien avant ses mains. Elle savait ce qu’elle voulait, et je n’avais qu’à me laisser faire.
La porte d’un appartement s’est refermée derrière nous. L’atmosphère était feutrée, presque irréelle. Elle a pris les devants, guidant chaque geste, chaque frôlement. Sa maturité transparaissait dans la façon dont elle me touchait, dans la manière dont elle lisait mes envies avant même que je les formule. Je me suis abandonné à elle, à cette rencontre adulte où le désir était le seul langage.
Nos corps se sont cherchés, trouvés, sans hésitation. Elle menait la danse, sûre de ses gestes, de ses envies. Je me suis laissé porter, savourant cette relation physique où tout était permis, où la pudeur n’avait pas sa place. Sa peau contre la mienne, ses mains expertes, sa bouche qui effleurait la mienne, tout n’était que tension et abandon. Elle m’a offert un moment hors du temps, une parenthèse où seuls comptaient le plaisir et la liberté.
Quand tout s’est apaisé, elle s’est levée, a remis ses vêtements sans un mot. Son regard a croisé le mien, intense, presque tendre. Elle est repartie sans un mot. Mais j’ai senti qu’elle reviendrait.