Plan cul assumé, version mature.
Elle m’a dit : “Si tu veux une fille sage, demi-tour.” J’ai souri, excité par cette femme mature qui n’a rien à prouver, juste envie de s’offrir un vrai plan cul cougar. On s’est retrouvés dans ce parking désert, à deux pas d’Intra-Muros, là où personne ne vient déranger les envies brûlantes. Elle m’a attrapé sans hésiter, ses mains sûres, son regard qui ne ment pas : elle veut un mec qui bande bien, qui ne pose pas de questions, juste un moment sans tabou. Sa bouche sur la mienne, ses ongles qui griffent ma nuque, elle me fait sentir vivant, désiré comme jamais. Ce qui m’excite le plus ? Son assurance, sa façon de prendre ce qu’elle veut, sans détour. Avec elle, chaque rencontre coquine devient une parenthèse sulfureuse, loin de la routine, juste nous deux, affamés, libres.
Saint-Malo
Elle m’a dit : “Si tu veux une fille sage, demi-tour.”
Ses mots claquaient dans l’air humide du parking désert, quelque part entre les remparts d’Intra-Muros et la mer qui grondait au loin. J’avais quitté la chaleur feutrée de mon foyer, le parfum rassurant de la routine, pour ce rendez-vous clandestin. Elle, femme mûre, silhouette affirmée sous son manteau sombre, m’attendait adossée à une colonne, le regard franc, presque provocant.
Je n’étais pas venu chercher une histoire, ni des promesses. Juste une rencontre adulte, un moment sans tabou, loin des convenances. Elle le savait. Elle cherchait juste un mec qui bande bien, m’avait-elle glissé, sourire en coin, lors de nos premiers échanges. Ce soir, il n’y avait plus de place pour les hésitations.
La lumière blafarde des néons dessinait sur son visage des ombres qui accentuaient la profondeur de ses yeux. Elle s’est approchée, sûre d’elle, effleurant ma joue du bout des doigts, comme pour vérifier que je n’étais pas un mirage. Son parfum, mélange de sel et de musc, m’a enveloppé, réveillant un désir brut, presque adolescent.
Sans un mot, elle a glissé sa main sous ma veste, cherchant la chaleur de ma peau. Son audace m’a électrisé. Nos souffles se sont mêlés, courts, impatients. Elle a guidé mes gestes, m’a appris à la découvrir, à la suivre dans ce jeu où chaque caresse avait le goût de l’interdit. Sa bouche, experte, a trouvé la mienne, et la complicité sensuelle s’est installée, naturelle, évidente.
Le béton froid sous nos pieds contrastait avec la fièvre de nos corps. Elle a ri, un rire grave, vibrant, en sentant mon trouble. “C’est ça que je veux”, a-t-elle murmuré, “un homme qui ne se cache pas, qui ose.” J’ai répondu à son invitation, laissant tomber les dernières barrières, m’abandonnant à cette relation physique, intense, sans faux-semblant.
Le temps s’est suspendu, rythmé par nos soupirs, nos gestes affamés. Dans ce parking désert, il n’y avait plus que nous, deux adultes consentants, avides de sensations vraies. Elle n’avait pas besoin de parler. Son corps m’a tout appris.