Plan cul assumé avec une cougar expérimentée à Annecy

Elle s’est assise sur moi sans prévenir. Dans son appart du Vieil Annecy, elle m’a ouvert la porte en nuisette, sans un mot, juste ce regard brûlant. J’ai à peine eu le temps de poser mes mains sur ses hanches qu’elle s’est installée, sûre d’elle, prête à tout. C’est ça qui m’excite : une femme mature, une vraie femme chaude qui ne joue pas les princesses, qui sait ce qu’elle veut et n’a pas peur de le prendre. Pas de blabla inutile, juste des gestes, des souffles, des envies partagées. Ce plan cul cougar, c’est un moment sans tabou, une rencontre coquine où tout est permis. Dans ce quartier d’Annecy, réputé pour ses nuits animées, j’ai trouvé ce que je cherchais : une salope assumée, prête à me faire vibrer, encore et encore.

La vieille ville brillait sous les lanternes, les pavés encore tièdes d’un été qui refusait de finir. Elle m’avait proposé un verre sur les quais du Thiou. Elle est arrivée comme dans un film : élégante, sûre d’elle, un regard franc et une voix grave qui n’attendait pas de réponse. Femme mûre. Femme réelle. Une cougar comme on n’en croise pas sur les applis.

On a parlé peu, mais intensément. Très vite, elle m’a glissé un : « Tu veux qu’on continue ailleurs ? » Pas une question. Une évidence. On a traversé les ruelles de la vieille ville main dans la main, direction un petit hôtel discret, à l’écart du tumulte.

Une fois la porte refermée, tout est allé vite. Elle m’a embrassé avec une faim que je n’avais jamais connue. Elle a guidé mes mains, défait mes boutons, posé ses doigts sur chaque zone qu’elle voulait réveiller. Elle ne demandait pas. Elle prenait.

Elle connaissait son corps, et le mien. Elle savait comment retarder, comment pousser, comment dominer sans brutalité. Ses gestes étaient sûrs, son souffle court, son regard ancré dans le mien. Elle voulait un plan cul. Pas un flirt. Pas une promesse. Juste du sexe. Du vrai.

À Annecy, tout semblait suspendu. Il n’y avait plus que ses hanches contre les miennes, son plaisir qui appelait le mien. La chambre était silencieuse, sauf nos souffles mêlés. C’était cru, brûlant, intime.

Elle m’a laissé vidé, comblé, marqué.
Depuis, chaque fois que je passe sur le pont des Amours, je repense à elle. À cette femme mature qui m’a montré que le vrai désir n’a pas besoin de déclaration. Juste d’une nuit.