Plan cul assumé, version mature.
Elle m’a regardé comme une proie. Et j’ai adoré ça. À peine installés sur le canapé, dans ce petit appart du quartier de la Cathédrale à Quimper, nos mains se sont cherchées, se sont trouvées. Elle savait ce qu’elle voulait, et moi aussi : un vrai plan cul cougar, sans détour, sans promesse. Sa voix grave, son parfum, la façon dont elle me déshabille du regard… C’est ça qui m’excite : sentir ce que c’est, une vraie femme, une femme mature, une femme chaude qui n’a pas peur de ses envies. On se touche, on se frôle, et déjà la tension monte. Ici, pas de tabou, juste l’envie brute d’une rencontre coquine, d’un moment où tout peut arriver. Ce soir, dans ce coin discret de Quimper, je veux juste profiter d’elle, sans rien retenir.
Elle m’a regardé comme une proie. Et j’ai adoré ça.
Dans le Quartier de la Cathédrale, la nuit a ce parfum d’interdit qui flotte entre les pavés luisants et les rires qui s’échappent des terrasses. Je l’ai vue, assise seule, un verre à la main, l’assurance tranquille d’une femme mûre qui sait ce qu’elle veut. Nos regards se sont croisés, elle a souri, un sourire qui promettait un moment sans tabou, loin des jeux d’adolescents.
On a marché ensemble, sans vraiment parler, jusqu’à son appartement, juste au-dessus d’un vieux bistrot. À peine installés sur le canapé, nos mains se sont cherchées, se sont trouvées. Elle a posé sa paume sur ma nuque, m’a attiré contre elle. Sa peau avait ce parfum subtil, mélange de maturité et de désir assumé. Je voulais sentir ce que c’est, une vraie femme, une rencontre adulte où chaque geste compte, où chaque soupir a du sens.
Sa bouche a effleuré la mienne, lente, sûre d’elle. Elle a guidé mes mains, m’a montré sans un mot comment la toucher, comment la découvrir. Il y avait dans ses gestes une complicité sensuelle, une façon de me faire comprendre que ce moment était à nous, rien qu’à nous. Je me suis laissé porter, j’ai oublié le reste du monde, le bruit de la ville, les lumières au dehors.
Nos corps se sont rapprochés, se sont découverts, sans précipitation. Elle savait exactement comment attiser le feu, comment faire monter le désir, jusqu’à ce que je ne pense plus qu’à elle, à sa chaleur, à sa façon de me regarder, de me prendre. C’était une relation physique, mais bien plus que ça : une expérience, une leçon de plaisir et d’abandon.
Quand tout s’est calmé, elle s’est levée, a remis sa robe d’un geste fluide. Elle m’a lancé un dernier regard, intense, presque sauvage. Elle est repartie sans un mot. Mais j’ai senti qu’elle reviendrait.