Plan cul assumé, version mature.
Elle n’a même pas eu besoin de parler. Mon érection a parlé pour moi. J’ai répondu à son annonce sans trop y croire, mais quand elle m’a donné l’adresse et le code, j’ai compris que ce plan cul cougar à Niort allait être différent. Le quartier, juste derrière le Donjon, avait cette ambiance électrique, propice aux rencontres coquines. J’étais nerveux, timide, mais obsédé par cette femme mature, cette femme chaude qui m’attendait. Dès que la porte s’est refermée, elle a pris le contrôle. Elle m’a plaqué contre le mur, ses mains expertes glissant sous ma chemise. Elle m’a retourné comme un jouet sexuel, sans hésiter, sans tabou. Son assurance, sa façon de me dominer, c’est ça qui m’excite le plus. Ce moment sans tabou, juste elle et moi, dans la chaleur de Niort, je ne l’oublierai jamais.
Elle n’a même pas eu besoin de parler. Mon érection a parlé pour moi.
J’étais planté devant la porte, le code encore chaud dans ma main moite. Le Donjon, ce nom résonnait dans ma tête comme une promesse. Niort, la nuit, le quartier s’animait de murmures et de lumières tamisées. J’avais répondu à son annonce, attiré par ses mots directs, sa photo où la maturité se lisait dans la courbe de ses lèvres et la confiance de son regard. Une femme mûre, sûre d’elle, qui savait ce qu’elle voulait. Moi, timide, mais obsédé par ces rencontres adultes où le désir n’a pas d’âge.
La porte s’est ouverte sur elle. Pas un mot, juste ce sourire en coin. Elle portait une robe noire, simple mais terriblement efficace, qui laissait deviner la fermeté de ses formes. Son parfum, chaud, enveloppant, m’a saisi à la gorge. J’ai senti mon cœur cogner, mes mains trembler. Elle a refermé la porte derrière moi, m’a effleuré le bras, et j’ai compris que ce soir, je n’aurais rien à prouver. Juste à me laisser faire.
Dans la pénombre de son salon, elle a pris les devants. Sa voix, grave, m’a ordonné de m’asseoir. J’ai obéi, fasciné. Elle s’est approchée, a glissé ses doigts sur ma nuque, puis sur ma chemise qu’elle a déboutonnée sans hésiter. Son regard ne quittait pas le mien, mélange de tendresse et de domination. Je n’étais plus qu’un jouet entre ses mains expertes, retourné, manipulé, exploré. Elle savait exactement où appuyer, comment me faire frissonner, comment faire monter la tension sans jamais la briser.
Chaque geste était précis, chaque caresse calculée pour attiser le feu. Sa bouche, ses mains, son corps contre le mien, tout respirait la complicité sensuelle d’une relation physique assumée, sans tabou. Elle me guidait, me poussait à lâcher prise, à oublier ma timidité. Je découvrais une autre facette de moi, sous son contrôle, et j’adorais ça.
Le temps semblait suspendu. Elle prenait son temps, savourait chaque réaction, chaque soupir. Elle me retournait, littéralement, me dominant avec une assurance naturelle. Je n’avais jamais ressenti un tel mélange de plaisir et d’abandon. Elle savait comment faire durer le plaisir. Et l’envie de revenir.