Plan cul assumé, version mature.
Elle m’a regardé comme on regarde un jouet. Dans ce bar du Légué, l’ambiance était moite, électrique, parfaite pour une rencontre coquine. Je l’ai vue, femme mature, sûre d’elle, robe moulante, regard de braise. J’étais ce gars timide, mais obsédé par les cougars, et ce soir, elle m’a choisi. Elle a glissé sa main sur ma cuisse, m’a soufflé à l’oreille ce qu’elle voulait : un plan cul cougar, sans promesse, juste du plaisir. Elle s’est levée, m’a lancé un sourire, et je l’ai suivie jusqu’aux toilettes, le cœur battant. Ce qui m’excitait le plus ? Savoir qu’elle cherchait juste un mec qui bande bien, un moment sans tabou, brut, animal. Là, contre la porte, elle était femme chaude, exigeante, et moi, prêt à tout pour la satisfaire.
Saint-Brieuc
Elle m’a regardé comme on regarde un jouet. Assis au comptoir du bar, je sentais déjà la chaleur de son regard, cette femme mûre à la chevelure sombre, le sourire en coin, sûre d’elle. Le Légué, ce soir-là, vibrait d’une énergie particulière, les rires se mêlaient à la musique, mais tout mon univers s’est rétréci à la silhouette élégante qui venait de s’installer à côté de moi.
Je n’ai pas osé parler tout de suite. J’ai commandé un autre verre, espérant que l’alcool me donnerait un peu de courage. Elle, elle n’a pas attendu. Sa voix grave a glissé jusqu’à moi, une question banale, mais son regard disait tout autre chose. Elle cherchait juste un mec qui bande bien, c’était évident dans sa façon de me détailler, de jauger ma réaction, de sourire quand mes joues ont rougi.
La tension est montée d’un cran quand elle s’est levée, frôlant ma main du bout des doigts. Elle a lancé un regard par-dessus son épaule, une invitation silencieuse. Je l’ai suivie, le cœur battant, jusqu’aux toilettes du fond, là où la lumière est tamisée, où les bruits de la fête deviennent sourds.
À peine la porte refermée, elle a pris les choses en main. Sa bouche s’est posée sur la mienne, exigeante, ses mains expertes ont trouvé le chemin de ma chemise. Je me suis laissé faire, envahi par le désir, fasciné par cette complicité sensuelle qui s’installait sans un mot. Elle savait exactement ce qu’elle voulait, et je n’étais qu’un spectateur, emporté dans ce moment sans tabou.
Sa peau contre la mienne, son souffle chaud à mon oreille, chaque geste était précis, assumé, comme si elle lisait en moi. Je découvrais une autre façon d’aimer, brute et douce à la fois, une relation physique où tout était permis, où le plaisir passait avant les convenances. Elle m’a guidé, m’a poussé à me dépasser, à oublier ma timidité, à me concentrer sur ses envies, sur les miennes aussi.
Quand tout s’est arrêté, elle m’a regardé avec ce même sourire, complice, satisfait. Je suis resté là, un peu sonné, le souffle court, incapable de dire un mot. Je ne pensais pas qu’une femme pouvait faire ça.