Plan cul assumé, version mature.
Elle m’a dit : “Je ne veux pas de mots. Juste ta queue.” C’était sur le Cours Mirabeau, en plein cœur d’Aix-en-Provence. Elle m’a abordé sans détour, son regard planté dans le mien, sûre d’elle, femme mature qui sait ce qu’elle veut. Pas de jeux, pas de faux-semblants, juste ce désir cru, cette envie de plan cul cougar assumé. J’ai senti son parfum, sa main effleurant ma chemise, et tout de suite, j’ai su que ce moment serait sans tabou. Ce qui m’excite le plus ? Sa franchise, sa chaleur, cette façon de me faire comprendre qu’elle n’a pas besoin de promesses. Elle n’est pas là pour jouer les princesses, elle veut une rencontre coquine, directe, animale. Dans cette rue animée, elle m’a offert un instant volé, brûlant, loin de mon quotidien de mec marié.
Aix-en-Provence
Elle m’a dit : “Je ne veux pas de mots. Juste ta queue.”
C’était sur le Cours Mirabeau, un soir où l’air d’Aix-en-Provence vibrait de promesses et de secrets. Je marchais, l’esprit ailleurs, à la recherche de cette femme mûre qui ne joue pas les princesses, qui assume ses envies sans détour. Je n’avais pas envie de jeux, ni de faux-semblants. Juste d’une rencontre adulte, d’un moment sans tabou, loin de la routine conjugale.
Elle m’a abordé sans hésiter, le regard franc, la bouche ourlée d’un sourire qui ne promettait rien d’autre que le plaisir. Sa voix grave a traversé le brouhaha des terrasses, et j’ai su tout de suite qu’elle savait ce qu’elle voulait. Pas de séduction inutile, pas de faux mystère. Elle m’a détaillé, a effleuré ma main, et j’ai senti le courant passer, cette complicité sensuelle qui ne demande qu’à exploser.
On s’est éloignés du flot des passants, direction une ruelle discrète. Elle a posé sa main sur ma nuque, m’a attiré contre elle, son parfum enveloppant mes sens. Son corps contre le mien, ferme, assumé, sans hésitation. Elle a glissé ses doigts sous ma chemise, cherchant la peau, la chaleur, le désir brut. Je n’avais plus qu’une envie : la posséder, la sentir vibrer sous moi, répondre à son audace.
Dans l’ombre, nos corps se sont trouvés, affamés, impatients. Elle a guidé mes gestes, a pris ce qu’elle voulait, sans pudeur, sans détour. Sa bouche sur la mienne, ses mains partout, exigeantes, expertes. J’ai découvert une femme mûre qui n’a pas peur de son plaisir, qui réclame, qui donne, qui prend. Une relation physique, intense, sans promesse ni lendemain, juste l’instant, la fièvre, la sueur.
Nos souffles se sont mêlés, nos corps se sont tendus, et j’ai joui de cette liberté rare, de ce moment où tout est permis, où rien n’existe que le désir. Elle m’a regardé, satisfaite, un éclat de défi dans les yeux. Pas de mots inutiles, juste la certitude d’avoir partagé un moment sans tabou, une parenthèse brûlante sur le Cours Mirabeau.
Je bande encore rien qu’en y repensant.