Plan cul assumé, version mature.
Elle a verrouillé la porte. Et elle a tout contrôlé. Elle m’a glissé son adresse, un sourire en coin, et j’ai compris que ce plan cul cougar serait différent. Le Vieil Antibes, ses ruelles discrètes, la chaleur de la nuit… Tout semblait conspirer pour ce moment sans tabou. Elle, femme mature, femme chaude, savait exactement ce qu’elle voulait : me faire gémir, me guider, me prendre en main. Sa voix basse, ses gestes précis, son plaisir à voir un homme docile perdre le contrôle… C’est ça qui m’excite le plus. Ici, pas de faux-semblants, juste une rencontre coquine, directe, où elle mène la danse. Je n’ai qu’à me laisser faire, savourer chaque seconde, et attendre qu’elle décide de tout.
Elle m’a donné rendez-vous sur la plage de la Gravette, juste après le coucher du soleil. Elle portait une robe fluide, pieds nus dans le sable, un regard tranquille mais assuré. Femme mûre, bronzée, belle sans le savoir. Ou alors si. Juste assez pour s’en servir.
On a marché un peu sur les remparts, elle m’a parlé de ce qu’elle aime : le silence, les gestes directs, les hommes qui savent pourquoi ils sont là. Puis elle s’est arrêtée devant un petit hôtel du vieil Antibes. « On monte ? » C’était à la fois une invitation et un ordre.
Dans la chambre, elle a fermé les volets, allumé une lampe basse, et s’est tournée vers moi. Lentement, elle a fait glisser sa robe. Sans un mot. Elle voulait un plan cul, pas une histoire. Une étreinte. Une vraie. Et elle allait la prendre.
Ses mains sur ma peau, ses ongles dans mon dos, sa bouche sur mon torse. Tout était instinctif, fluide, sans hésitation. Elle savait ce qu’elle faisait, ce qu’elle déclenchait. Je n’étais plus un homme, j’étais son terrain de jeu. Et elle m’explorait centimètre par centimètre.
Elle me guidait comme un danseur, imposait son rythme, ses envies. Elle voulait sentir mon plaisir, mais surtout, le faire exploser. Femme chaude, femme mature, femme sûre d’elle. Une cougar dans toute sa vérité : pas là pour séduire, mais pour jouir.
Et moi, je m’abandonnais, corps et tête, sans réserve. Cette nuit-là à Antibes, j’ai découvert que le sexe pouvait être une conversation silencieuse entre deux adultes qui n’ont rien à prouver. Juste à s’offrir.
Depuis, le souvenir de sa peau salée me hante. Et le bruit des vagues me donne des idées.